
Les mois les plus forts de l'année 2010 étant désormais derrière nous, la tendance de fond ne sera plus trop modifiée. Elle se résume par un sursaut étonnamment fort de l'industrie hôtelière dès les prémices d'une reprise économique. Loin d'être une année de transition, 2010 amorce tous les paramètres de l'inversion positive du cycle hôtelier : reprise du volume des nuitées et hausse régulière des prix moyens. Le niveau n'est pas encore celui des années fastes 2007-2008, à part dans les hôtels très haut de gamme qui sont, comme à l'habitude, le moteur des changements brutaux. Les variations en 4* et 5* se mesurent à deux chiffres et souvent au-delà de 20%. Du coup l'écart est sensible entre l'évolution en région parisienne, plus réactive, et le reste du territoire, et entre les catégories hôtelières, le socle de l'hôtellerie économique amortissant les fortes variations. Rien de très nouveau sous le soleil, mais la bonne nouvelle est que les performances du haut de gamme en région parisienne tirent tout le secteur et rétablissent les bonnes échelles de valeurs entre catégories. L'année devrait s'achever sur le haut de la fourchette des prévisions de RevPAR, au-delà des 6% de croissance.Les mois les plus forts de l'année 2010 étant désormais derrière nous, la tendance de fond ne sera plus trop modifiée. Elle se résume par un sursaut étonnamment fort de l'industrie hôtelière dès les prémices d'une reprise économique. Loin d'être une année de transition, 2010 amorce tous les paramètres de l'inversion positive du cycle hôtelier : reprise du volume des nuitées et hausse régulière des prix moyens. Le niveau n'est pas encore celui des années fastes 2007-2008, à part dans les hôtels très haut de gamme qui sont, comme à l'habitude, le moteur des changements brutaux. Les variations en 4* et 5* se mesurent à deux chiffres et souvent au-delà de 20%. Du coup l'écart est sensible entre l'évolution en région parisienne, plus réactive, et le reste du territoire, et entre les catégories hôtelières, le socle de l'hôtellerie économique amortissant les fortes variations. Rien de très nouveau sous le soleil, mais la bonne nouvelle est que les performances du haut de gamme en région parisienne tirent tout le secteur et rétablissent les bonnes échelles de valeurs entre catégories. L'année devrait s'achever sur le haut de la fourchette des prévisions de RevPAR, au-delà des 6% de croissance.

