Le produit appart-hôtel a bien fonctionné cet été, permettant une autonomie des touristes dans le contexte actuel. Les grands espaces des clubs sont également un avantage pour mettre en place les mesures restrictives sanitaires et dépayser les clients. Certaines clientèles ne sont plus présentes (Anglais) et les ventes se font vraiment à la dernière minute.
L’absence des séminaires et groupes est marquée dans les clubs. Des clients ont du mal à s’adapter aux mesures restrictives, nécessitant une formation accrue du personnel.
La prochaine échéance, pour les vacances d’hiver, sera cruciale, et il est nécessaire de clarifier rapidement le fait que les gens puissent partir ou non.
Il ne faut pas s’éparpiller sur les prestations délivrées. Ainsi, Odalys n’est pas ouvert aux nouveaux usages, de type conversion de chambres en bureau : ce n’est pas la fonction de l’hôtel et le personnel n’est pas formé pour ça.
Belambra souhaite renforcer la flexibilité des clubs et leur ancrage dans les territoires en prônant le local dans les restaurants et à l’extérieur (escapades…). Les investissements se poursuivent, avec la création de 1 à 2 clubs par an, ainsi que l’extension de clubs existants.
Les résidences vont se différentier les unes des autres par leur état ; il faut donc maintenir les Capex pour s’adapter à la demande des clients sur le long terme.
Les marques comme Belambra ou Odalys sont tout à fait capables d’amener une réassurance client, bien que la temporalité reste incertaine ; le fait de s’ouvrir à la franchise, et d’apporter une marque à des opérateurs, peut ainsi être envisagé.
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