
C’est sur le site de Confluence, zone d'activité économique située dans le 2ème arrondissement lyonnais, que le restaurateur Guy Benayoun en collaboration avec le chef Sébastien Chambru (MOF 2007) vient d'ouvrir un nouvel établissement le Do Mo Restaurant. Le nom de cette nouvelle adresse gastronomique nous vient tout droit du Japon. “Le terme 'domo' est une particule de politesse qui indique l'humilité de celui qui la prononce”. On l'aura compris l'influence de la gastronomie japonaise sera omni présente dans ce restaurant à la carte savamment métissée. C'est d'ailleurs tout l'objet des deux collaborateurs dont l'idée est “d'associer à la richesse gourmande du terroir français l'épure majestueuse de la table japonaise”. Dans l'assiette, cela se traduira par une approche différente du produit selon qu'il sera cuisiné suivant les inspirations venues de France et/ou du Japon. Ainsi, côté français, la noix de Saint Jacques sera proposée sous forme de bondons vanillées, crevettes roses marinées aux agrumes et salade de jeunes pousses ; côté franco-japonais, en carpaccio, marinées au Yuzu, accompagnées de tempura de crevettes roses et salade de jeunes pousses et, côté japonais, elle sera servie sous la forme de Sashimi avec condiments japonais. L'endroit a été décoré à l'image de la cuisine qui y est proposée : épuré et subtil comme ces gouttes d'eau de lumière figées comme des instantanés au dessus des tables et dont l'écho virtuel est symbolisé par des ronds dans l'eau.C’est sur le site de Confluence, zone d'activité économique située dans le 2ème arrondissement lyonnais, que le restaurateur Guy Benayoun en collaboration avec le chef Sébastien Chambru (MOF 2007) vient d'ouvrir un nouvel établissement le Do Mo Restaurant. Le nom de cette nouvelle adresse gastronomique nous vient tout droit du Japon. “Le terme 'domo' est une particule de politesse qui indique l'humilité de celui qui la prononce”. On l'aura compris l'influence de la gastronomie japonaise sera omni présente dans ce restaurant à la carte savamment métissée. C'est d'ailleurs tout l'objet des deux collaborateurs dont l'idée est “d'associer à la richesse gourmande du terroir français l'épure majestueuse de la table japonaise”. Dans l'assiette, cela se traduira par une approche différente du produit selon qu'il sera cuisiné suivant les inspirations venues de France et/ou du Japon. Ainsi, côté français, la noix de Saint Jacques sera proposée sous forme de bondons vanillées, crevettes roses marinées aux agrumes et salade de jeunes pousses ; côté franco-japonais, en carpaccio, marinées au Yuzu, accompagnées de tempura de crevettes roses et salade de jeunes pousses et, côté japonais, elle sera servie sous la forme de Sashimi avec condiments japonais. L'endroit a été décoré à l'image de la cuisine qui y est proposée : épuré et subtil comme ces gouttes d'eau de lumière figées comme des instantanés au dessus des tables et dont l'écho virtuel est symbolisé par des ronds dans l'eau.