
La valorisation financière des principaux groupes hôteliers mondiaux a évolué positivement au cours des derniers mois, mais la montée en puissance des acteurs digitaux du tourisme a été encore plus rapide. Outre leur forte croissance et leurs valorisations élevées, ces acteurs émergents se caractérisent par une relative faiblesse des ressources mobilisées ; ce qui met sous pression les acteurs traditionnels dont les performances sont challengées par les investisseurs. Or, si les groupes hôteliers se sont déjà presque totalement désengagés de l’immobilier, il n’en est pas (encore ?) de même de l’emploi. Si la servuction fera toujours partie du « cœur de métier » hôtelier, les principaux groupes hôteliers résisteront-ils à la tentation croissante de faire porter les coûts salariaux par d’autres qu’eux ?
Pour plus d'information, consultez la deuxième partie de cet article. Tandis que l’année dernière avait été marquée par de nombreuses fusions/acquisitions d’envergure dans le monde des groupes hôteliers, les derniers mois ont été l’occasion d’une consolidation des derniers mouvements ou d’opérations...
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