
Nouveau venu sur le marché des résidences hôtelières urbaines, Privilodges a décidé de faire un “coup marketing” pour faire connaître sa résidence Le Royal d'Annecy, calqué sur des opérations similaires tentées dans la restauration. En s'adressant à un millier d'entreprises de l'agglomération savoyarde, Privilodges leur propose de fixer eux-mêmes le prix du séjour en fonction de la satisfaction des résidents. L'offre est limitée dans le temps : entre le 19 octobre et le 19 décembre sans limitation de durée de séjour. “Nous limitons le risque sur les séjours courts de 1 à 2 nuits et pour des séjours plus longs, nous fixons avec le client le tarif qu'il accepte de payer à partir de la 3ème nuitée”, explique Pierre-François Berthin, gérant de Privilodges. “C'est une opération médiatique dans une période plus calme et pour une résidence en phase de lancement. Le produit est assez original et il faut inciter les entreprises à venir le voir pour les convaincre de nous choisir”.Nouveau venu sur le marché des résidences hôtelières urbaines, Privilodges a décidé de faire un “coup marketing” pour faire connaître sa résidence Le Royal d'Annecy, calqué sur des opérations similaires tentées dans la restauration. En s'adressant à un millier d'entreprises de l'agglomération savoyarde, Privilodges leur propose de fixer eux-mêmes le prix du séjour en fonction de la satisfaction des résidents. L'offre est limitée dans le temps : entre le 19 octobre et le 19 décembre sans limitation de durée de séjour. “Nous limitons le risque sur les séjours courts de 1 à 2 nuits et pour des séjours plus longs, nous fixons avec le client le tarif qu'il accepte de payer à partir de la 3ème nuitée”, explique Pierre-François Berthin, gérant de Privilodges. “C'est une opération médiatique dans une période plus calme et pour une résidence en phase de lancement. Le produit est assez original et il faut inciter les entreprises à venir le voir pour les convaincre de nous choisir”.