
Suite à l'abandon des deux surtaxes votées en première lecture à l'Assemblée nationale, l'Umih parle de "sursis pour le tourisme français".
Les députés ont renoncé à l'amendement visant à augmenter la taxe de séjour de 1,5 euros à 8 euros et à celui concernant une taxe de séjour de deux euros supplémentaires par nuitée et par personne en Ile-de-France, pour financer les transports en commun. De plus, toute réforme est reportée à 2015. En réaction à cette annonce, l'UMIH et le GNC ont noté la volonté du Gouvernement d'inscrire la réforme de la taxe de séjour dans le cadre des prochains débats budgétaires qui accompagneront l'examen du projet de loi de finances pour 2015. L'UMIH et le GNC espèrent vivement que ces débats seront précédés d'une large concertation avec les professionnels, démarche qui a largement fait défaut jusqu'à ce jour.
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