
A quelques semaines du début des épreuves de la Coupe du monde de football en Afrique du Sud, la presse britannique fait état d’un vent de panique chez les hôteliers du pays qui «massacrent » leur prix pour susciter davantage de réservations. La directrice générale du Bureau du tourisme d’Afrique du Sud s’est totalement opposée à ces allégations estimant qu’une baisse des prix de dernière minute pour solder les chambres inoccupées n’était que du «bon sens commercial », mais certainement pas un acte de panique dans la mesure où la majorité des visiteurs étrangers sont détenteurs d’un forfait incluant les entrées aux matches et l’hébergement. Les organisateurs ont d’abord tablé sur 450 000 visiteurs internationaux mais doivent constater qu’à peine la moitié a effectué une réservation. Match, la centrale qui gère les allotements hôteliers, a rendu au tout dernier moment près de 20% de son contingent, laissant peu de temps aux opérateurs pour les commercialiser.
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