
Un groupe détenteur de 25% des quelque 3,5 milliards de dollars de créances sur l’une des filiales en difficulté de Dubai World, le promoteur Nakheel auquel on doit les îles artificielles en forme de palmier, exige rapidement le paiement de la dette. Avec une minorité de blocage, ils peuvent s’opposer à toute opération de restructuration. Le fond new-yorkais QVT Financial conduit la fronde des intérêts étrangers à Dubaï