
Repris en 2008 par un jeune couple, Aurore et Julien Dumez, le St-Sernin Hôtel a réouvert ses portes en juillet dernier après seulement cinq mois de travaux. “C’est surtout son emplacement – face à la basilique St Sernin - qui a retenu notre attention, car l’hôtel en lui-même bien que charmant de l’extérieur était tombé à l’abandon. Ainsi, du bâtiment initial, nous n’avons gardé que la structure et les murs porteurs”, explique Julien Dumez. Diplômé de l’école hôtelière de Lausanne, ce jeune hôtelier de 30 ans a déjà un joli parcours.“J’ai travaillé au Plaza Athénée, à la conciergerie mais aussi avec la gouvernante générale. Ensuite, je suis parti à l’étranger pour occuper le poste de directeur adjoint F&B au Sofitel Philadelphie, avant de rejoindre Paris comme commercial à l’hôtel Edouard VII, avenue de l’Opéra”. C’est avec l’aide de son épouse qu’il décide ensuite de franchir le pas en faisant l’acquisition du Saint-Sernin. “Au début, nous voulions ouvrir un hôtel sur l’Ile de Ré, mais les prix du foncier rétais nous en ont vite dissuadé”. Diplômée d’un Bac +5 en ressources humaines, Aurore décide de travailler pendant six mois dans deux établissements parisiens - le Grand Hôtel des Gobelins et l’hôtel Claret -afin de comprendre tous les rouages de la gestion hôtelière. Aujourd’hui, le jeune couple savoure son nouveau statut. Nouvelle adresse de charme de l’hôtellerie toulousaine, l’hôtel Saint-Sernin et ses 17 chambres (dont la moitié a vue sur la Basilique Saint-Sernin) est le premier projet du couple. “Nous aimerions reprendre aussi un hôtel à Bordeaux, mais en attendant, nous nous concentrons sur la gestion de celui-ci. Nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements…”.“J’ai travaillé au Plaza Athénée, à la conciergerie mais aussi avec la gouvernante générale. Ensuite, je suis parti à l’étranger pour occuper le poste de directeur adjoint F&B au Sofitel Philadelphie, avant de rejoindre Paris comme commercial à l’hôtel Edouard VII, avenue de l’Opéra”. C’est avec l’aide de son épouse qu’il décide ensuite de franchir le pas en faisant l’acquisition du Saint-Sernin. “Au début, nous voulions ouvrir un hôtel sur l’Ile de Ré, mais les prix du foncier rétais nous en ont vite dissuadé”. Diplômée d’un Bac +5 en ressources humaines, Aurore décide de travailler pendant six mois dans deux établissements parisiens - le Grand Hôtel des Gobelins et l’hôtel Claret -afin de comprendre tous les rouages de la gestion hôtelière. Aujourd’hui, le jeune couple savoure son nouveau statut. Nouvelle adresse de charme de l’hôtellerie toulousaine, l’hôtel Saint-Sernin et ses 17 chambres (dont la moitié a vue sur la Basilique Saint-Sernin) est le premier projet du couple. “Nous aimerions reprendre aussi un hôtel à Bordeaux, mais en attendant, nous nous concentrons sur la gestion de celui-ci. Nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements…”.