
A l’initiative de la section équine de l’interprofession du bétail et de la volaille, une quarantaine de restaurants des régions Nord et Ile-de-France a participé à une opération pilote, entre mars et juin dernier, consistant à proposer de la viande chevaline en plat du jour. L’opération a été appuyée par une campagne promotionnelle menée par les fournisseurs et a fait l’objet d’une enquête pour enregistrer les réactions des restaurateurs, des serveurs et des clients. Selon l’enquête, les trois quarts des restaurateurs se sont déclarés satisfaits et plus de la moitié ont décidé de maintenir le produit sur leur carte. Au niveau des clients, 78 % ont trouvé l’initiative très intéressante. 94 % des consommateurs testés ont déclaré n’avoir aucune réticence à voir de la viande chevaline au restaurant : “Bien au contraire, pour les amateurs, c'est une façon de pallier le manque de points de vente et, pour les curieux, l’occasion de tester un nouveau produit”, explique les responsables de la filière équine. Parmi les clients ayant commandé de la viande chevaline, 25 % étaient des non consommateurs et 10 % de très faibles consommateurs (1 à 2 fois par an seulement). 63 % des clients ont trouvé la viande chevaline très bonne. La tendreté est la qualité la mieux notée, suivie de près par le goût et la qualité de la recette (des grillades essentiellement). Interbev Equins rappelle aux professionnels que, contrairement à certaines idées reçues, il n’existe aucune interdiction réglementaire à proposer le produit en RHD, comme l’a attesté la Direction Générale de l'Alimentation. L’Interprofession entend bien renouveler l’expérience pour élargir le marché. n www.interbev.frA l’initiative de la section équine de l’interprofession du bétail et de la volaille, une quarantaine de restaurants des régions Nord et Ile-de-France a participé à une opération pilote, entre mars et juin dernier, consistant à proposer de la viande chevaline en plat du jour. L’opération a été appuyée par une campagne promotionnelle menée par les fournisseurs et a fait l’objet d’une enquête pour enregistrer les réactions des restaurateurs, des serveurs et des clients. Selon l’enquête, les trois quarts des restaurateurs se sont déclarés satisfaits et plus de la moitié ont décidé de maintenir le produit sur leur carte. Au niveau des clients, 78 % ont trouvé l’initiative très intéressante. 94 % des consommateurs testés ont déclaré n’avoir aucune réticence à voir de la viande chevaline au restaurant : “Bien au contraire, pour les amateurs, c'est une façon de pallier le manque de points de vente et, pour les curieux, l’occasion de tester un nouveau produit”, explique les responsables de la filière équine. Parmi les clients ayant commandé de la viande chevaline, 25 % étaient des non consommateurs et 10 % de très faibles consommateurs (1 à 2 fois par an seulement). 63 % des clients ont trouvé la viande chevaline très bonne. La tendreté est la qualité la mieux notée, suivie de près par le goût et la qualité de la recette (des grillades essentiellement). Interbev Equins rappelle aux professionnels que, contrairement à certaines idées reçues, il n’existe aucune interdiction réglementaire à proposer le produit en RHD, comme l’a attesté la Direction Générale de l'Alimentation. L’Interprofession entend bien renouveler l’expérience pour élargir le marché. n www.interbev.fr