Le Digital Markets Act (DMA) a fait l’effet d’une petite bombe dans le secteur de la distribution hôtelière, mais pas comme les professionnels l’espéraient initialement. Perte de visibilité pour les hôteliers indépendants dans les moteurs de recherche, absence de Booking.com dans la liste des « gatekeepers » et accroissement du monopole des OTAs sont tout autant de critiques qui s’élèvent dans un milieu où la concurrence déloyale est depuis longtemps pointée du doigt. Si de nombreux changements pourraient s’opérer dans les prochains mois, il semble de plus en plus compliqué pour les hôteliers de faire face à la toute-puissance des OTAs. Quid de l’évolution de la distribution hôtelière à l’ère du règlement sur les marchés numériques européens.
Le Digital Markets Act, plus de mal que de bien ? Entré officiellement en vigueur le 6 mars dernier, le Digital Markets Act est loin de faire l’unanimité dans le monde de la distribution hôtelière. De nombreuses voix se sont élevées contre cette nouvelle réglementation, à l’image du PDG d’Accor...
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