
1 an après la pose de la première pierre, l’établissement est en soft opening depuis mai. Il a été déployé sur un foncier propriété d’Européquipements juste devant le premier hôtel du groupe, le Mercure Références. Les 123 chambres construites en 1990 sont ainsi complétées par un établissement ibis Styles depuis quelques semaines.
Un cercle vertueux puisque cet hôtel flambant neuf a incité Olivier Pelat, fondateur d’Européquipements, à relancer une campagne de rénovation pour l’établissement Mercure avec un ravalement complet de la façade d’origine et une rénovation des chambres qui n’avaient pas été refaites en 2017. Une stratégie qui permettra au groupe de renforcer ses prix moyens dans un quartier qui, avec les nombreux aménagements déployés pour les JOP Paris 2024, prend de la valeur.
Mathieu Cazeneuve directeur général du combo souligne : « A date nous avons une certaine homogénéité tarifaire avec des écarts d’une dizaine d’euros en prix moyens entre les deux établissements. Avec la future rénovation du Mercure, la présence de l’ibis Styles nous permettra de toucher une clientèle encore plus large. » Recruté au sein du groupe à la fin de ses études, Mathieu Cazeneuve y travaille depuis 6 ans.
Un ibis Styles qui appuie sur le 21ème arrondissement de Paris
Les 74 chambres sont décorées avec des têtes de lit qui rappellent l’ambiance titi parisienne, 30 décors ont été choisis pour personnaliser les espaces. La décoration est inspirée du Paris de années Folles avec un rappel appuyé au métro et aux réclames des années 1930.

Comme avec les autres établissements du groupe, Olivier Pelat a souhaité insuffler sa marque de fabrique, il avait fait partie des premiers franchisés Accor à apporter de légères modifications dans les modèles de chambres. C’est désormais chose commune pour les franchisés et Européquipements personnalise ses espaces.

Rénovation dans la continuité
« Je retourne quelques décennies en arrière, à l’époque où nous avions inauguré l’hôtel juste à côté. C’était notre tout premier établissement, et ce souvenir conserve une valeur symbolique très forte pour moi. Je suis, vous le savez, très attaché aux symboles.
Nous avons également collaboré à l’époque avec Eiffage, qui avait construit cet hôtel en 1989. L’architecte, lui aussi, nous était familier : nous avions déjà travaillé ensemble sur d’autres établissements. Ces partenariats s’inscrivent dans une continuité, dans une histoire partagée.
Aujourd’hui, nous sommes dans un quartier en pleine mutation, une zone en transformation rapide que l’on pourrait qualifier de 21ᵉ arrondissement de Paris, tant son dynamisme et son potentiel sont devenus évidents.
Avec Accor, notre partenariat relève d’un véritable mariage de cœur. Nous n’avons aucune obligation contractuelle de travailler avec eux, et pourtant, c’est toujours avec beaucoup de plaisir et de confiance que nous poursuivons cette collaboration.
Enfin, je tiens à souligner que ce projet a sans doute été l’un des plus complexes que nous ayons menés. Et c’est précisément pour cela que je veux remercier chaleureusement toutes les équipes pour leur travail remarquable et leur engagement sans faille. Leur investissement a été à la hauteur des enjeux. » A souligné Olivier Pelat lors de son discours inaugural.»
Bertrand Kern, maire de Pantin, a ajouté :
« Pour développer une ville, il faut des partenaires fiables, des gens qui tiennent parole. Cela a été le cas lors du rachat du Mercure, puis avec la construction de logements sur la ZAC du Port, et aujourd’hui encore, avec cet ibis.
C’est le parcours d’un homme qui développe et qui investit, avec constance et engagement.
Cette semaine, ce ne sont pas moins de deux hôtels qui ouvrent leurs portes à Pantin. C’est le signe d’un territoire en plein essor économique. Hermès, BNP Paribas Security Services, Chanel au nord du canal, BETC : autant de grandes signatures qui participent à cette dynamique.
Pantin fait exception en Île-de-France : ici, on continue à construire des bureaux. 1 500 emplois sont attendus sur cette seule zone. Ce développement s’accompagne également d’une vitalité culturelle remarquable, qui draine une activité soutenue.
Pantin devient aussi une ville universitaire, à la croisée des talents, des idées et des opportunités. Une ville qui attire, qui innove, et qui se transforme. »
