
Une table ronde réunissant les principaux opérateurs du titre restaurant a été organisée le 13 décembre pour déterminer les bonnes conditions de l'évolution vers la dématérialisation des titres. Un groupe de travail doit rendre des avis pratiques avant la fin janvier 2013.
A l'invitation de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes, un groupe de travail s'est réuni le 13 décembre pour déterminer les bonnes conditions de l'évolution vers la dématérialisation des titres restaurants, d'un point de vue juridique et de régulation. Outre l'administration de l'Etat, étaient présents l'autorité de tutelle, la CNTR, les quatre émetteurs traditionnels de titres "papier" et les nouveaux acteurs qui jouent la carte de la dématérialisation.Des premiers échanges, il est ressorti : - que rien dans la loi ne requiert le papier, que le support est libre, qu'aucune autorisation n'est nécessaire pour opérer sous une autre forme - que face à l'importance des enjeux du numérique, il est urgent d'agir vite.La DGCCRF met donc en place avec ce même groupe de travail une démarche consultative, dont les premiers résultats doivent être annoncés à très court terme, en janvier prochain.L'un des nouveaux acteurs Moneo Applicam est particulièrement intéressé par les conclusions du groupe de travail. «Nous avons signé nos premiers contrats commerciaux et nos clients disposeront comme annoncé précédemment de leurs cartes Moneo Resto fin janvier 2013, en parfaite conformité avec la réglementation actuelle», a précisé Serge Ragozin, Directeur Général de Moneo Applicam.
