. L'année 2010 s'est montrée particulièrement propice au groupe Best Western, dont le chiffre d'affaires de la centrale a progressé de 14%, pour passer le cap des 44 millions d'euros. . Un autre cap a été franchi, celui du 300e adhérent à la coopérative hôtelière, complétant encore davantage le maillage nationale. L'objectif reste toujours de couvrir les villes de plus de 50 000 habitants. . Le rythme de croissance actuel autorise l'objectif ambitieux de 450 hôtels et 27 000 chambres en 2015.
Pour la chaîne Best Western, 2010 témoigne d'un véritable retournement de tendance après une baisse de CA enregistrée en 2009, en passant le cap des 44 millions d'euros générés par la centrale de réservation, la chaîne booste son apport aux hôteliers de 14%. Parallèlement, le programme Best Western Rewards a généré 33 millions supplémenaires, via ses 142 000 membres. Elle peut affirmer que pour chaque euro investi dans la chaîne par un adhérent, il en récupère 7 en moyenne. Ce volume passe par un croissance de la distribution via le net, qui représente plus de la moitié des ventes, et même davantage si l'on considère qu'une partie du trafic GDS est activé par des sites partenaires.Best Western en quelques chiffres -* 1ère enseigne mondiale avec 4 038 hôtels et 308 692 chambres au 30 novembre 2010 (+0,4%), dont : - 2 194 hôtels en Amérique du Nord (- 1%) - 1 703 hôtels en Europe (+2%) dont 304 en France, 16 300 chambres (+5%) - 141 hôtels dans le reste du monde (+3%), dont 40 en Chine et 30 en Inde. -* 836 M€ de CA de la centrale de réservation au niveau mondial (+12%), dont : - 47,5% via Internet - 35,5% via les GDS - 17,0% via les call-centers -* 44,3 M€ de CA de la centrale française (+14%), dont - 51% via Internet - et 34% via les agences de voyagesCela incite encore plus l'état-major de la chaîne à travailler sur un dispositif de ventes Internet en direct, via le site de l'hôtelier et le site bestwestern.fr, limitant au maximum l'intermédiation et les lourdes commissions qui en découle. Un travail de fond est mené avec ReservIT pour doter les hôteliers des bons outils de web planning unique et pour diriger les flux des clients directement sur les sites. Ce sera d'autant plus profitable aux hôteliers que le principe du "coût zéro” de la réservation via la centrale Best Western a été acté. Elle fait partie du package de service qu'ils peuvent attendre de la chaîne.La part de la clientèle française se renforce (27% du volume) devant les Américains (25%) et les Britanniques (10%). La diversification restant une priorité et une sécurité pour l'avenir.Autre signe favorable de l'année 2010, un nombre record de recrutements : 40 arrivées dans le guide 2011 qui, avec 304 hôtels en portefeuille (16 300 chambres), permet de passer le cap symbolique des 300 établissements. "Cela correspond à un progression de 80% par rapport à l’an dernier. Ces nouveaux adhérents sont à 15% des hôtels 4 étoiles et à 85% des hôtels 3 étoiles, ils apportent au réseau 2 578 chambres supplémentaires”, souligne Stéphane Gauthier, le directeur général. Ce maillage permet aussi de renforcer la notoriété de l'enseigne qui atteint le score de 71% de reconnaissance en 2010 contre 63% en 2009 soit une progression de 12% selon la dernière enquête CSA.Le développement reste naturellement une priorité de la chaîne qui n'estime pas avoir épuisé son potentiel de croissance. Plus présente encore en Ile-de-France, en Normandie, en Lorraine, en Rhône-Alpes et en PACA, elle privilégie désormais les gros porteurs (au-delà de 80 chambres) et n'hésite pas à accompagner les projets avant même le démarrage des travaux. Si le rythme actuel se prolonge sur les quelques années à venir, Gérard Claudel, président de Best Western France, se voit bien à la tête d'un réseau national de 450 à 500 hôtels pour une capacité globale de quelque 27 000 à 30 000 chambres.